Dans nos cultures, le partage des rôles est rarement considéré comme une bonne pratique en matière de prise de responsabilités, puisqu’on ne sait pas mettre un trait clair sur qui est responsable de quoi. Mais est-ce important à partir du moment où la collégialité s’avère bien plus performante ? L’auteur explore le phénomène (en croissance) des duos au sommet des organisations.
Un peu ardue à lire, une recherche intéressante qui met en évidence la plus-value de telles constellations et qui permet de dégager les facteurs clés de succès : le partage cognitif à la base même du plaisir de cocréation, la relation de confiance basée sur l’affection, un espace individuel et des zones communes permettant à chacun de trouver son espace vital.
“Professional duos that have been built on the ground of an existing affective relationship are more likely to establish a strong working bond of mutual respect and collaboration»