Nous avons basé les principes de nos économies sur des postulats de croissance universelle. Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre qu’une croissance infinie dans un monde fini, cela va forcément grincer à un certain moment. Il nous faut donc un nouveau récit économique qui s’inscrit entre le plancher social et le plafond environnemental.
Se connecter à notre monde, se connecter à l’autre. L’auteur évoque de nouveaux schémas de pensée pour une économie durable … Une recherche inspirante qui nous repositionne comme des êtres sociaux, interdépendants et coopérants, des êtres d’approximation qui dépendent du monde vivant.
« Au cœur de l’économie du XXe siècle se trouve le portrait de l’homme économique rationnel, selon lequel nous sommes égoïstes, isolés, des êtres de calcul, dont les goûts sont immuables et qui dominent la nature – et ce portrait a façonné ce que nous sommes devenus. »